Renforcer la confiance, endiguer les optimisations fiscales
La question du salaire maximal assurable dans le 2e pilier peut être abordée sous l’angle de la politique sociale et sous celui du droit fiscal. Dans les deux cas, nous arrivons à la conclusion que la disposition actuelle doit être adaptée. Il n’existe aucune raison légitime pouvant justifier que les salaires jusqu’à 907200 francs (2025) soient assurables.
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